Dans la lignée du droit à ne pas utiliser Internet proposé par Élise Degrave (qui constitue le critère 2.3 du cadre de référence NIG), le livre “La haine des fonctionnaires” recommande d’”œuvrer pour que toute la population du territoire national puisse avoir accès à une personne, à une démarche sur papier ou par téléphone”.
La décolonisation des imaginaires, ça passe aussi par la préhistoire.
Un point de vue intéressant sur le choix des mots et le désir qu’ils suscitent (ou pas).
Ce truc des “extrêmes”, ça m’énerve autant que l’IA ou la blockchain. C’est juste stupide !
Franchement, on a une grosse responsabilité à gauche. Un peu d’humilité ne nuirait pas.
L’autogestion avec 80% d’hommes, ça n’a aucun sens, c’est juste de l’ego, des Che Guevara à la petite semaine. Chez noesya on est très directement concerné·e·s par le sujet, et on fait de notre mieux pour en sortir :)
“le mouvement décolonial ne cesse de mettre en avant qu’il faut jouir d’un certain niveau de confort pour avoir peur de le perdre, raison pour laquelle l’effondrisme ne rencontre que bien peu d’écho parmi les populations déjà précaires du Sud global”
Razmig Keucheyan et Cédric Durand proposent de bifurquer vers un “gouvernement par les besoins”, appuyé sur une comptabilité écologique (coucou CARE).
“L’organisation de la transition écologique ne peut être laissée aux seuls marchés. Elle ne peut pas non plus reposer sur les seules initiatives locales, même si celles‑ci sont précieuses. Ce sont les États, les gouvernements et les parlements, en tant que garants de l’intérêt général, qui, après de larges débats démocratiques et sociaux, ont la responsabilité de faire entrer les sociétés dans un processus de profonde transformation économique et sociale.”
“Les radicaux du marché construisent des échappées à toute forme de contrôle démocratique et rêvent d’un monde éclaté en une myriade de zones économiques spéciales en concurrence les unes avec les autres”