Un beau dossier, écrit exclusivement par des autrices, qui rend compte des ravages du capitalisme académique sur les chercheures en sciences sociales.
La sobriété, une histoire de récits. À mettre en relation avec “No Carbon”, de Fanny Parise, et la construction du tabou carbonique.
“Les radicaux du marché construisent des échappées à toute forme de contrôle démocratique et rêvent d’un monde éclaté en une myriade de zones économiques spéciales en concurrence les unes avec les autres”
L’article est un peu tiède, mais ça peut être une bonne introduction au problème.
“Chaque milliardaire est un échec politique. Les milliardaires ne devraient pas exister.”
“Pour les plus modestes, la sobriété énergétique est donc une pratique régulière et permanente, subie, pour boucler les fins de mois. Pour les plus aisés, elle doit s’apprendre et se conjuguer à d’autres efforts d’efficacité énergétique. Cela implique de repérer, pour tous et toutes, les postes de surconsommation et de réduire la consommation ostentatoire.”
“Le Bitcoin consomme autant d’eau que la Pologne.” Chaque transaction est “environ 6,2 millions de fois pire“ qu’un paiement par carte bancaire.
1 heure d’entretien pour comprendre la modernité comme accélération du temps, et le concept de résonance.
Après l’informatique dans les nuages, l’informatique dans le donut :)
Pour “un Institut européen d’émission monétaire” afin de mettre la création monétaire au service “des objectifs de bien commun”.