“Pour les plus modestes, la sobriété énergétique est donc une pratique régulière et permanente, subie, pour boucler les fins de mois. Pour les plus aisés, elle doit s’apprendre et se conjuguer à d’autres efforts d’efficacité énergétique. Cela implique de repérer, pour tous et toutes, les postes de surconsommation et de réduire la consommation ostentatoire.”
Une étude scientifique qui met en évidence l’inefficacité des gains d’efficience énergétique s’ils ne sont pas accompagnés de plus de sobriété. Et comme toujours, l’essentiel du problème, c’est nous, les riches.
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