Prenons un exemple simple : l’eau potable.
Avec l’IFRS, s’il n’y en a plus, ça fait augmenter la valeur d’une entreprise qui vend de l’eau en bouteille.
Avec le CSRD, si l’entreprise qui vend de l’eau en bouteille ne met pas en œuvre les mesures nécessaires pour préserver le bon état écologique des nappes phréatiques et des sources, elle perd de sa valeur.
IFRS = on pille, on détruit, on s’enrichit en faisant semblant d’agir.
CSRD = on prend soin et on préserve ce qui est important.
Emmanuel Faber devra rendre compte aux générations futures de ses agissements. Ce qu’il fait est dangereux et irresponsable. Ce qu’il dit est cynique et manipulatoire.
Merci Alexandre, pour cet article et pour tout ce que tu fais avec la Chaire Comptabilité Écologique et la comptabilité CARE !