“le refuge dans l’utopie a permis aux pionniers dans l’importation d’internet en Europe de surmonter leur marginalisation”
“Le transhumanisme est souvent analysé comme un dangereux délire servant de justification aux visées hégémoniques des entreprises de la high-tech. Il se pourrait que le plus intéressant, dans ce phénomène, soit d’y voir un miroir grossissant de ce que sont les individus de nos sociétés technicisées.”
Dans la lignée du droit à ne pas utiliser Internet proposé par Élise Degrave (qui constitue le critère 2.3 du cadre de référence NIG), le livre “La haine des fonctionnaires” recommande d’”œuvrer pour que toute la population du territoire national puisse avoir accès à une personne, à une démarche sur papier ou par téléphone”.
Le béton, comme le numérique me semble-t-il, “est un symbole de la fragilité de la puissance caractéristique des sociétés industrielles contemporaines”.
Et si on mettait Jeff et Elon dans une fusée en direction de Mars ? C’est un peu simpliste comme solution, mais je trouve quand même l’idée séduisante.
Un article scientifique dense qui propose un cadre de référence pour la créativité après la croissance. Upcycling, artisanat, low-tech, bricolage, avec une réflexivité sur les pratiques et une articulation permanente entre le passé, le présent et le futur.
La décolonisation des imaginaires, ça passe aussi par la préhistoire.
Un point de vue intéressant sur le choix des mots et le désir qu’ils suscitent (ou pas).
“l’anthropocène n’est peut-être pas une époque géologique au sens strict, mais ce pourrait être un label à même de souligner les enjeux écologiques actuels“
L’ami Gauthier Roussilhe fait le point avec sa rigueur habituelle. La conclusion, c’est que, scientifiquement, on ne sait pas trop. L’effet rebond, toujours l’effet rebond…